Méditation [Libre]

[Premier post dans Symbiose !!]

Alexander sorti du royaume humain pour aller méditer dans un endroit calme et tranquille…
Il cherchait avait tout un lieu où aucuns de ses hommes ne pourraient le retrouvé, il en avait marre de tous ces bon à rien qui ne faisaient que demandé son aide pour un oui et pour un non…

Au bout de plus plusieurs dizaines de minutes, L’humain trouva enfin un coin parfais pour pouvoir médité et se reposé.
Alexander s’assit en tailleur et commença à médité…

[[HJ: Puis-je?]]


Hitori, quand à elle, revenait d'un petit village où elle avait jouer au médecin pour avoir des provision, de la nourriture pour continuer son chemin. Les personnes qu'elle avait aidé était si content qu'il donna aussi un peu d'argent. Elle le refusa naturellement, mais ils insistèrent et elle fini par accepter. C'est alors qu'elle se retrouva dans la plaine.

Elle se tenait plus loins dans la plaine. Il y figurait que quelques arbres dans la plaine et elle se tenait à proximité d'un. La main lever dans les airs, elle siffla une douce mélodie, sa capuche sur sa tête. Deux oiseaux sortirent de diffrent arbre et vint se posé sur elle. Un alla sur son épaule et l'autre sur sa main gantelé et se mit à manger les graines qu'elle y avait mit.

Elle n'avait pas remarqué la présence d'Alexander, il n'était pas une menace pour elle, les oiseaux lui avait fait parvenir par leur venu sur elle. Une douce brise souffla, venant de sa droite, fesant valsé sa cape et son capuche. Elle ne sembla pas bougé, pour ne pas effrayé les oiseau la côtayant.

[HJ : J’ai mis libre, donc je ne refuse personne sur ce topic ^^ /HS]

Alexander entendit des bruits… Une personne approchait.
En tout cas, l’humain ne bougea pas, il fit comme si il ne l’avait pas remarqué…

*Bon, analysons la situation. J’ai entendu comment cet inconnu chantait, j’en déduit donc que c’est une femme… Et si c’était un Iru, il se serait montré très prudent, et il n’aurait pas fait tant de bruit. Donc c’est soit une humaine, soit une elfe…*

Après quelques secondes, le bras droit des humains ce décida à parler, mais il conserva tout de même sa position en tailleur en ouvrait tout te fois légèrement les yeux.

« Bonjour à toi. Tu ne possèdes pas de longues oreilles, donc tu es forcément une humaine…
Et je ne crois pas t’avoir dèja croisé… Je m’appelle Alexander Cyran, bras-droit des humains. Et vous ? »

Lorsqu'Alexander parla, les oiseaux prient peur et partirent dans leurs nids. Hitori mit les graines restantes dans leur sac d'où elles venaient. Puis, elle se retourna face à Alexander. Elle le regarda d'un regard épieur. Il semblait ne pas mentir, mais elle décida de rester tout de même sur ses gardes.

Puis, après ce léger moment de silence, elle abaissa sa capuche pour dévoilé son magnifique visage, ses longs cheveux blonds et son regard de tristesse d'or.

"Alexander-sama a une bonne déduction.."

Dit-elle de sa douce voix, mais grandement froide, presque sans émotions.

"Hitoribocchi Towa, la vagabonde, est heureuse de faire votre connaissance.. Hitoribocchi Towa est connue sous autre nom comme Hitori ou Toto, à Alexander-sama de choisir lequel il préfère.."

Dit-elle en fesant une courbette devant lui. Puis, elle reprit sa position normal. Malgré son regard profondément triste, un sourire, cependant très mince se dessina sur ses fines lèvres.

"Toto-chan se demande pourquoi Alerxander-sama est dans les plaines alors qu'il est le bras-droit des humains. Est ce qu'il fuirait ses responsabilités ou ne ce soucit-il plus des sorts des autres humains tel que Toto-chan.."

Elle perdi son sourire à mi-chemin de son monologue, démontrant plus de froideur dans ses yeux ainsi qu'une pointe de la rage. Cependant, elle ne le démontra point ailleurs.

Alexander fut doublement étonné, d’abord, la jeune femme l’appelait Alexander-sama et en plus, elle parlait comme une personne non civilisée…

« Alexander tout court s'il vous plaît...
Hitoribocchi Towa me convient très bien… Sauf, si vous préfériez que je vous appelle d’une autre façon… »

A ces mots, L’humain ressenti une légère tristesse dans les paroles de la jeune femme. Mais il n’en fit point attention, et il continua ce qu’il avait commencé…

« Je ne fuis pas mes responsabilités, loin de là… Je suis allé dans les plaines surtout pour pouvoir me reposer. Au fait, il y a quelque chose qui me trotte dans la tête, pourquoi parlez vous de vous à la troisième personne ? »

Hitori leva les bras pour se prendre elle même dans les bras, croisant les bras dessous sa poitrine. Son regard devint sombre et se mit à regarder le sol, n'ausant plus le regarder dans les yeuxm ne voulant pas qu'il voit cette tristesse qu'elle portait en ses yeux en se moment.

"Alexander.. Cela ne conserne que Toto-chan.."

Elle ferma les yeux et se mit a prendre de grande respiration. Elle serra un peu sa poigne sur elle-même. Puis, elle se lêcha et regarda Alexander de ses yeux or d'où une tristesse émanait en permanace. Puis, son regard changea, il vint imansément froid, sans émotions ainsi que sa voix et son intonations qui devinrent plus que sérieuse.

"Vous avez certes droit au repos Alexander, mais je vous conseille de n'être point loin trop souvent de votre poste, on ne sait jamais lorsque la vie d'une personne peut être détruite en l'espace de quelque heures.."

Puis, elle ferma les yeux, elle semblait si frèle et faible à ce moment. Elle remit sa capuche et se retourna. Elle fit quelque pas dans la direction qu'Alexander regardait. Son épée tinqua à un rythme stable, au rythme de ses pas. Alexander avait probable vu larme dépassé de sa cape lorsqu'elle se retourna. Elle ne tourna même pas la tête pour lui reparler.

"Veillez excusé Toto-chan.."

Elle posa et reprit, avec une voix plus joyeuse.

"Elle doit partir, c'est ce qu'elle est après tout.. Une vagabonde."

Alexander ne bougea pas quand la jeune femme lui avait parlé… L’homme ferma les yeux, il attendit tranquillement qu’elle ait fini de parler avant de continuer la conversation.

« Si vous devez partir, alors soit… J’espère qu’on pourra reprendre cette conversation. » Dit-il d’une voix calme et reposée .

Alexander savait au fond de lui-même qu’il reverrait cette étrange femme. Peut-être même qu’un jour, Hitoribocchi Towa rejoindra les rangs de l’armée des humains… qui sait ce que l’avenir peut nous réserver.
En tout cas, Cyran avait senti une immense force non exploitée provenant de cette humaine…

Le jeune homme resta en tailleur, sans bouger d’un poil. Il laissait le vent caressé ses cheveux, tout en essayant d’évité de pensé à la paperasse qui l’attendrait dès rentré dans son bureau.

C'est alors qu'un oiseau fit se posé sur l'épaule de l'homme et Hitori se mit è avancé d'un pas lent et tout de même confiant. Puis, elle prit parole pour la dernière fois.

"Toto-chan et Alexander se reverrons la prochaine fois que leur chemin se croiserons.."

Elle dégaina son épée monstruseuse et coupa dans un mouvement de vent le gazon en avant d'elle. Puis, elle déposé l'arme sur son épaule.

"Mais peut-être que je réagisserai différamment.."

Puis, elle reprit sa marche et parti au loin. L'oiseau sur l'épaule d'Alexander le quitta et alla rejoindre, se posé sur l'épaule d'hitori qui était maintenant bine loin dans les plaines, peut-être même sur le point de les quitter.

*Cet homme.. Il ne semble pas prendre son poste au sérieux.. C'est à cause des gens comme lui que Toto-chan, que j'ai perdu mon village en entier..*

Après cette pensé, elle regaina son épée et décida de s'arrêter devant un arbre et s'y asseoir. L'oiseau resta sur son épaule, il s'y endormi même. Hitori aussi était légèrement fatigué, mais garda les yeux ouvert, regardant l'étandu de la verdure devant elle. Gardant aussi un oeil sur le bras droit des hommes.

Quand Alexander vit la lame de la jeune femme passée près de lui, il ne bougea pas d’un centimètre, il savait déjà que l’épée d’Hitoribocchi ne l’atteindrait pas…

*J’espère que le jour où on se reverra, ça ne finira pas en bain de sang…*

Cyran regarda la jeune femme s’éloigner, puis, après s’être bien détendu, il se leva en regardait un peu autour de lui…

« Bon, je crois que je vais devoir retourner au Palais… »

Le jeune homme sorti des plaines d’un pas assez rapide pour aller vers le territoire des humains.

[=> Bureau du bras-droit des humains]

L'homme après un moment parti, laissant la Hitori seule dans les plaines. Elle abaissa sa capuche et senti l'aire frais dans ses long cheveux blonds. Un autre oiseau vint, mais celui si sur ses genoux et si coucha pour s'endormir, les deux oiseaux de plutot. Hitori souri douchement, heureuse d'avoir encore ses fidèles compagnons qui l'accompagne depuis presque toujours. Elle accota sa tête contre l'arbre et regarda à travers son feuillage, le soleil passant que quelque fois.

*Qu'elle belle journée pour être à l'extérieur..*

Elle enleva doucement ses gans noirs, laissant ses mains à l'air frais, ce qu'elle fesait rarement. Ayant travaillé dur dans les champs et ayant été un peu prise dans la boutique en feu de ses parents, ses mains était marqué par toutes sortes de chose et brulé à quelque endroit, tout comme son corps a vrai dire.

Elle déposa ses gans à côtés d'elle et regarda à travers le feuillage de l'arbre encore une fois. Le berçage des feuilles dans le vent et la marche incessante qu'elle entamme depuis près de trois eu raison d'elle. Le sommeil vient doucement. Elle fini par s'endormir avec ses conpagnons toujours sur elle.

Quelques heures plus tard, elle se fit réveillé par une langue humide sur sa joue. Elle ouvrit délicatement les yeux et vit qu'il fesait noir. Elle regarda du côté que venait le coup de langue et vit un loup au yeux or-brun, plus foncé que les siens, mais tout aussi brillant. Elle lle flatta sur la tête en guise de remerciement et remit ses gans par après.

Elle se leva, oubliant qu'avant sont sommeil des oiseaux était perché sur elle. Cependant, ils n'y étaient plus. Elle déposa un genoux au sol et donna un petit baisé au loup sur sa tête.

"Conduit Toto-chan à l'église.. Maman et Papa doivent se demander ce que fait leur fille."

Dit-elle avec un demi sourire.

Puis, le loup se mit en marche et Towa le suiva aveuglément. C'était tout de même une de ses particularités, la communication avec les canidés.

[=> L'église]