Alors que les souterrains n'avaient plus aucuns sercret pour la petite chef Irus, elle arriva au chateau là où son grand loups se reposait souvent en compagnie d'Irus en fascination devant son pelage épais et soigné, sa dosilité était de même mais seulement envers Meïl et quelques privilégiés les autres Irus ils ne les écoutaient point il entendait seulement leur flateries et le reste il n'écoutait gère.
Quand Meïl apparut dans la grande salle qui donnait sur le parc le grand loups leva la tête mais ne se leva point de toutes facon il était tellement grand que sa tête arrivait au bassin de Meïl.
La petite Iru se jeta la tête première dans le pelage de son docile ami qui la regardait tendrement.
Pendant que les deux compagnons se retrouvaient la jeune chef s'avait qu'il se tramait quelques complots de guerre au dessus, mais peut importait pour le moment.
Quelques Irus de passages la saluèrent avec respect et elle en fit de même aux côtés de son loup, mais elle n'était pas venu là pour rien elle sorti alors de son sac en bandoullière noir qu'elle portait de temps à autre pour transporté ses petits louveteux préferés.
Elle en sorti alors un petit louveteau agés de à peine 6 mois, il était déjà fort et intelligent mais sa mère était morte dans les derniers combats elle déposa le petit à terre et dit au grand loup d'un ton calme et gentil :
"Tiens prend bien soin de lui il deviendra fort comme toi si tu t'en occupe comme ton fils ! Je l'ai prénomé Sayako !"
mais le grand loup tourna là tête l'être indigné.
"Ok tu ne ve pas ! et bien fait ta tête de mule je l'eleverais comme mon fils !"
Elle tourna les talons le louveteau sous un bras quand elle alla pour franchir la grande porte du chateau le hurlement du loup se fit entendre un sourir s'afficha sur le visage de Meïl elle posa le louveteau à terre et parti sans même se retournez.
"Aurevoir Shé je t'aime...à bientôt"
Son amour pour son loup était grand .
Elle partie dans une autre partie du chateau pour y saluer quelques personnages important de ce monde avant de se laisser allez à la solitude des couloirs.
[je sais pas encors où]
